Centrafrique: La bonne tenue des élections locales encore menacée par des dissidents

Dans la dynamique d’une déstabilisation du pays, alimentée depuis l’occident, un groupe de sept partis politiques d’opposition, fidèle à leurs négriers, annonce dans une déclaration leur boycott des prochaines élections locales incluant municipales et régionales, prévues en janvier 2023. Les membres de ce groupe  demandent la refonte de l’Autorité Nationale des Elections (ANE).

L’opposition n’a en tout cas pas finit avec ses contestations à tout vent qui n’ont aucune légitimité et vidées de leurs substances.

Les manipulés de l’occident prévoient encore une fois perturber la tenue des élections locales par des revendications moribondes.

Alors que le Président Faustin Archange Touadéra a souci de renforcer les institutions du pays à l’issue des prochaines élections locales, couplées des municipales et des régionales dont l’organisation va coûter dans les 10 milliards de francs Cfa, certains centrafricains se complaisent encore à dissiper l’optimisme d’un peuple tout entier meurtri par des années de guerre.

Le mode opératoire de ces ennemis de la nation est de saper la bonne gouvernance de notre Président bien aimée Faustin Archange Touadéra avec la complicité d’une puissance de Ouest et jouer ainsi au pompier par après.

Pourtant l’ANE, unique institution capable et autorisée au regard des Textes, à organiser des élections dans le pays, demeure confiant.

Son Président Mathias Morouba, a même déclaré « ne pas craindre pour la sécurité de ses équipes, avant et pendant le scrutin, même dans les zones où les groupes armés sévissent » et lance un appel aux partisans du boycott.

Le Président de l’autorité électorale se dit encore « disposé au dialogue avec ceux qui comptent boycotter le scrutin ».

Mais dans leur déclaration, les signataires dits du groupe de l’opposition accusent l’ANE d’être « au service » du parti au pouvoir.

Un média international va même écrire que ces opposants «…craignent des fraudes et surtout que le gouvernement profite de ces élections pour organiser en même temps un référendum constitutionnel, qui ouvrirait la voie à un 3ème  mandat pour le Président Touadéra ».

Une baliverne, d’autant plus que la désinformation va à croissant pour ternir la politique de développement et de bonne gouvernance du Chef de l’Etat, Faustin Archange Touadéra.

Douter de l’impartialité, de la crédibilité et de la capacité de l’ANE à organiser des élections justes et transparentes comme toujours, c’est douter des valeurs de notre chère patrie.

Les dernières élections locales en Centrafrique datent de 1988.

Mais cette fois-ci, l’ANE assure que les prochaines se tiendront le 22 janvier 2023, quatre mois après la date prévue initialement.

Lazare

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *