Centrafrique: Faustin TOUADERA, « l’archange » d’une nouvelle république

Depuis la fuite de François Bozizé, chassé par la rébellion Séléka en mars 2013, la Centrafrique traverse une crise dont elle peine à sortir. La situation sécuritaire reste délétère et conjugue les timides avancées réalisées sur le chemin du « relèvement ». Malgré les entraves à la paix, l’actuel président Faustin Archange TOUADERA, arrivé au pouvoir en 2016 puis réélu en 2021 pour sa politique de développement, de stabilité sociopolitique et de la relance économique, parvient à sortir peu à peu le pays de l’ornière.

Le Chef de l’Etat, Faustin TOUDERA est un Archange bienfaisant pour la Centrafrique que malheureusement ses détracteurs à l’instar de la Coalition des Patriotes pour le Changement (CPC), veulent écarter de son projet de reconstruction du pays.

Evoluant vers la fin de son second mandat dans un contexte de développement inachevé, le Président TOUADERA, en fervent patriote aspire à mettre la Centrafrique au rang des pays émergeants.

Pour ce faire, il se doit d’achever son chantier qui au vue de ces années de destruction et de déchirure sociale, s’avère titanesque et donc demande un délai d’achèvement plus long que prévu.

Il apparait alors plus que nécessaire pour bon nombre de centrafricains qui l’on compris et aspirant à une paix durable après ces années sombres de guerre et de souffrances, de demander exclusivement à Archange TOUADERA, un référendum sur la Constitution pouvant lui permettre de briguer un troisième mandat pour sauver la nation de la déliquescence dont il est en train de se sortir.

La preuve, de plus en plus de voix s’élèvent pour modifier la constitution.

« Notamment des aspirations profondes du peuple manifestées à travers des pétitions et marches de soutien à la réforme constitutionnelle », a déclaré le Chef de l’Etat Faustin Archange TOUADERA qui après avoir écouté ces concitoyens préoccupées par un retour à la sécurité nationale, «… prend acte de ces sollicitations pressantes » qui lui sont parvenues de partout réclamant une nouvelle Constitution.

A l’allure de cette démarche, comme pour la période de l’élection présidentielle lui permettant d’être élu pour son deuxième mandat, les ennemies de la république ont encore formaté des liesses de manifestations contre un référendum sur la Constitution quitte à vouloir déstabiliser l’unité, la sécurité et le développement en marche du Président Faustin Archange TOUADERA.

Les Centrafricains, au vue des chantiers déjà réalisés par TOUADERA, au regard du passé, sont tenus à travailler main dans la main autour de leur président pour achever le chantier entamé peu importe le délai.

Au vue du développement des infrastructures, la cohésion sociale retrouvée, les réformes économiques et judiciaires réalisées, l’heure n’est plus à l’hésitation et à la hantise.

Il faut poursuivre et accompagné le bon fils du pays, Faustin Archange TOUADERA dans ses réalisations au-delà des limites de mandat présidentiels si cela est nécessaire pour la cohésion sociale.

Sur le plan sécuritaire et de la défense, le Président Faustin Archange TOUADERA a maintes fois démontré qu’il est l’homme de la situation qui mérite la confiance de ses concitoyens pour reconstruire une nouvelle Centrafrique pour tous où il fait bon vivre dans la paix l’unité et la quiétude.

Les groupes armées avaient transformé des régions entières du pays en zone de non –droit et soumis d’innocentes populations à des souffrances inhumaines avec un cortège de refugiés estimés à plus de 800000 dans ces années sombres qu’a connu le pays.

Aujourd’hui le centrafricain peut circuler librement dans les zones ou régions qui jadis étaient aux mains de ces rebelles.

Avec l’aide de ses alliés du Rwanda et de la Russie, TOUADERA a réussit à imposer la stabilité et la paix au sein de la population.

Grâce également aux chefs d’Etat de la CEMAC qui lui ont été prêté main forte, le président centrafricain a significativement repoussé l’insécurité, la peur et le banditisme au sein de la population et élabore des stratégies pour un retour progressif des refugiés.

« Avant le Président Faustin Archange TOUADERA, la capitale Centrafricaine était plongée dans le noir, ce qui favorisait les braquages dans la nuit sans oublier d’autres cas de banditisme. De nos jours l’on peut circuler du nord au sud, de l’Est à l’Ouest de la capitale, en toute quiétude sans se faire agresser par des hommes de mauvaises foi » témoigne un observateur de la vie politique.

Toutefois le peuple Centrafricain a désormais sa destinée en main quitte à ne pas commettre l’erreur de replonger dans les années sombres de son histoire.

Eric

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