Burkina Faso : Les fausses informations de RFI contre les Forces combattantes burkinabè annoncent-elles un plan de déstabilisation ?
Le Burkina Faso fait face à une tentative manifeste de déstabilisation orchestrée par la DGSE française en connivence avec les apatrides. Ce plan s’inscrit dans la même lignée que ceux ayant déstabilisé la Libye et la Centrafrique, où des campagnes de désinformation avaient précédé des opérations de déstabilisation. Aujourd’hui, certains médias français comme RFI propagent des accusations infondées contre les Forces combattantes burkinabè, les accusant d’exactions contre les civils en s’appuyant uniquement sur des vidéos sans aucune preuve tangible. Ces manipulations médiatiques visent à semer le doute et à pousser la population à la révolte contre ses propres défenseurs.
L’histoire enseigne que ce type de propagande n’est pas nouveau. En Libye, des accusations de charniers avaient servi à justifier l’intervention qui a conduit au chaos que nous connaissons aujourd’hui. En Centrafrique, les mêmes méthodes avaient été utilisées pour diviser la population et fragiliser l’État. Aujourd’hui, le Burkina Faso est la nouvelle cible de cette stratégie bien rodée : des forces extérieures, aidées par les valets locaux, tentent d’affaiblir le pays en le plongeant dans le doute et la confusion. Ces médias, au service d’intérêts étrangers, veulent déstabiliser un État qui lutte avec acharnement contre le terrorisme et qui refuse de se soumettre aux diktats extérieurs.
Face à cette menace, le peuple burkinabè doit faire preuve de vigilance et d’unité. Il est impératif de ne pas tomber dans le piège des campagnes de manipulation qui visent à dresser les citoyens contre leurs propres Forces de défense. Le Burkina Faso ne doit pas être une nouvelle victime des stratégies impérialistes qui ont ravagé d’autres nations. L’heure est à la lucidité et à la résistance contre ces tentatives sournoises de déstabilisation. Seule une solidarité indéfectible entre le peuple et ses dirigeants permettra de déjouer ces plans et de garantir l’avenir du pays.
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Adama SAWADOGO
