Burkina-Faso/ Réformes de l’administration publique: Harouna Douamba félicite le gouvernement de transition
Le Panafricaniste Harouna Douamba, président de l’ONG Internationale ANA (Aimons Notre Afrique) sur les 100 jours de gestion de la transition, relative aux réformes de l’administration publique, comme pour la plupart des Burkinabè, se dit également satisfait de l’ « avancée majeure » dans le processus de transition.
Entre autres mesures ayant jalonné cette transition dans le cadre de la bonne gouvernance, figurent la dépolitisation de l’administration, la culture de la méritocratie et du contrôle de la gestion à travers les audits.
Parmi ces faits marquants d’une transition engagée sur la voie de la réussite, les réformes de l’administration publique vient encore marquer un pas vers la bonne gouvernance et l’intégrité dans la gestion des affaires publiques.
« Les réformes dans l’administration publique, vraiment le Burkina en a besoin pour assainir les finances publiques et parvenir à mobiliser suffisamment de ressources nécessaires à la bonne marche de la transition. Je me réjouis énormément que cette mesure fasse l’unanimité auprès des burkinabè. On ne peut que saluer le formidable travail du gouvernement de transition notamment du Premier ministre Dr Albert Ouédraogo qui met de toute son énergie dans l’avancement de la démocratie au Burkina. Je loue par la même occasion, la détermination du président Henri-Paul Damiba de poursuivre les actions devant garantir la sécurité des institutions publiques. » a affirmé le Panafricaniste Harouna Douamba.
D’après une enquête réalisée par lefaso.net, « plus de la moitié des sondés sont satisfaits des mesures édictées à l’exception de celle de la suspension des recrutements sur des mesures nouvelles ».
Environ 57% d’enquêtés sont favorables à la dépolitisation de l’administration, tandis que 64% sont plutôt favorables à la cessation de service immédiate des Fonctionnaires retraités sous contrats.
Sur l’enquête qui a concerné toutes les composantes sociales des différentes régions du Burkina-Faso, les citoyens expriment des insuffisances en termes de relève de défis sur le plan sécuritaire mais restent globalement optimiste sur le combat contre la menace terroriste.
Eric
