Burkina Faso : Quand les ennemis de la nation utilisent les mercenaires et les réseaux sociaux pour diviser

Depuis plusieurs mois, le Burkina Faso fait face à une montée en puissance de ses Forces combattantes sous la houlette du Président Ibrahim Traoré. Grâce au courage, à l’engagement et à la détermination des fils et filles du pays, les groupes terroristes subissent des pertes sévères, ce qui a provoqué un déséquilibre dans leurs capacités de nuisance. Face à cette dynamique victorieuse, les ennemis de la paix, les véritables instigateurs du chaos au Sahel, n’ont pas dit leur dernier mot.
Selon nos sources, un plan machiavélique mis en place par les forces impérialistes, qui se sentant acculées, ont décidé de recourir à des mercenaires pour semer à nouveau la terreur. Ces individus, sans foi ni loi, sont envoyés pour commettre des atrocités qu’ils filment eux-mêmes avant de les diffuser sur les réseaux sociaux. Leur objectif est de faire croire que ces crimes sont le fait des Forces combattantes, afin de créer un climat de haine, de division et de méfiance au sein de la population.
L’objectif caché de cette opération est de pousser certains jeunes, notamment ceux issus des communautés visées, à croire qu’ils sont attaqués par les Forces combattantes. En les remplissant de colère et de douleur, les ennemis de la nation espèrent les enrôler dans une guerre communautaire aux relents ethniques. Un piège ignoble qui vise à briser le tissu social burkinabè et à détourner l’attention des vrais ennemis : les terroristes et leurs sponsors impérialistes.
Mais posons-nous une question simple et logique : comment les Forces de Défense et de Sécurité, qui se battent chaque jour pour protéger la population, pourraient-elles se retourner contre elle ? Un exemple frappant balaie d’un revers cette propagande : le Chef d’état-major général des armées, Moussa Diallo, est lui-même issu de la communauté peule. Peut-on honnêtement croire qu’il enverrait des soldats massacrer sa propre communauté ? Ces allégations n’ont aucun fondement. Elles sont le fruit d’une opération de désinformation savamment orchestrée.
Le peuple burkinabè doit faire preuve de la plus grande vigilance. Il est temps de comprendre que l’ennemi ne se cache plus seulement dans les buissons, mais aussi dans les claviers et les caméras. Chaque vidéo, chaque message viral peut être une arme de manipulation massive. Restons unis, solidaires, et faisons preuve de discernement.
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Abdoul Karim