Burkina Faso / Les manigances impérialistes : Quand certaines ONG internationales seraient devenues les complices de la désinformation
Depuis que les forces militaires françaises ont quitté le sol burkinabè, la lutte contre le terrorisme au Burkina Faso a pris un tournant décisif. Les terroristes sont acculés, traqués sans répit, et la victoire contre cette menace grandissante est à portée de main. Cependant, alors que le peuple burkinabè devrait célébrer cette avancée vers la paix et la sécurité, certaines ONG internationales choisissent plutôt de semer le doute et la méfiance à l’égard de l’armée burkinabè.
Un exemple frappant de cette tendance est l’article récemment publié par Human Rights Watch, intitulé « L’armée a massacré 223 villageois ». Dans cet article, l’ONG accuse l’armée burkinabè de graves violations des droits de l’homme, sans apporter de preuves tangibles ou de contexte adéquat. En effet, il est crucial de se rappeler que le Burkina Faso est en guerre contre le terrorisme, une guerre où les terroristes n’hésitent pas à se déguiser en militaires pour semer la terreur parmi la population.
La question se pose alors : pourquoi l’armée burkinabè, qui se bat courageusement pour défendre son peuple contre les assauts barbares des terroristes, irait-elle massacrer les civils qu’elle est censée protéger ? La réponse semble évidente : elle n’irait pas.
Il est essentiel de reconnaître le rôle trouble qu’aurait joué certaines ONG internationales dans ce contexte. En relayant des informations non vérifiées ou en déformant la réalité sur le terrain, elles contribuent à discréditer les Forces combattantes burkinabè, sapant ainsi les efforts pour instaurer la paix et la stabilité dans la région.
Ces actions ne sont pas sans conséquences. En alimentant la méfiance envers l’armée nationale, ces ONG jouent le jeu des impérialistes, dont l’agenda souvent caché vise à affaiblir les pays souverains pour mieux exercer leur influence. En fin de compte, ce sont les populations locales qui en payent le prix fort, privées de la protection nécessaire dans un contexte de guerre contre le terrorisme.
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Adama SAWADOGO
