AES / Machinations françaises au Sahel : Les Forces armées burkinabè et maliennes remportent des victoires contre le terrorisme, suscitant des inquiétudes à l’Élysée
Les Forces armées burkinabè et maliennes ont emporté des victoires contre le terrorisme, mettant en lumière l’efficacité de l’Alliance des États du Sahel (AES) sur le terrain. Cependant, ces succès auraient énervé le Président Macron qui a du limogé Bernard Emié le patron de la DGSE.
L’armée malienne a libéré la ville stratégique de Kidal en moins d’une semaine, ce que la France n’a pas pu faire pendant des années, d’où la question est de savoir que faisait l’armée française réellement au Mali ? Tandis que les Forces armées burkinabè ont repoussé avec bravoure une attaque massive de plus de 3000 terroristes à Djibo. Ces succès ont renforcé la crédibilité de l’AES dans la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel, ce qui ne serait pas vu de bon œil à l’Élysée.
Cependant, la situation a pris une tournure inattendue avec l’arrestation de quatre agents de renseignement français au Burkina Faso. Ces agents seraient en train d’opérer secrètement pour déstabiliser le Burkina Faso et d’assassiner les Présidents du Niger et du Burkina Faso.
La goutte d’eau qui a fait déborder le vase est survenue lorsque le Président français Emmanuel Macron, face à ces incompétences de ses services de renseignement extérieur qui auraient pour mission de déstabiliser le sahel, ont échoué à leur mission, a décidé de limoger le patron de la DGSE Bernard Emié. Cette décision aurait confirmé le plan de déstabilisation du sahel orchestré depuis Paris.
Alors que l’AES enregistre des succès sur le terrain, la France semble être confrontée à des défis internes et serait en train de s’organiser pour d’éventuel plan machiavélique dans les prochains jours.
L’AES doit rester vigilants et continuer à renforcer leur coopération pour faire face à la menace du terrorisme dans la région du Sahel.
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Adama SAWADOGO
