MAROC: REPORTER SANS FRONTIERES: « Le Maroc a gagné une place dans le dernier classement annuel »
L’univers médiatique au Maroc est riche et varié preuve des efforts sans faille du guide africain, Sa Majesté Mohamed VI Roi du Maroc pour l’assainissement et la redynamisation de la presse. RSF dans son classement annuel fait gagner une place au Royaume.
La Presse marocaine comme partout ailleurs dans le monde, est un domaine sensible d’où un bon encadrement s’impose en cas d’absence d’autocensure et du sens de la responsabilité du journaliste.
Cela n’empêche pas le Royaume du Maroc gagner une place dans le dernier classement annuel de Reporter Sans frontières.
Le Maroc, un riche royaume africain dans toute sa diversité occupe selon RSF la 135ème place sur 180 pays dans le classement mondial de la liberté de la presse.
On peut alors se demander sur quels critères se basent RSF pour classer tel ou tel pays par rapport à la liberté de la presse.
Mais la presse est-elle réellement libre à l’origine ?
Une presse libre selon RSF cadre avec le respect des droits du journaliste à exercer aisément son métier.
A ces droits d’écrire et de publier les informations s’ajoute un sixième sens qui requière des investigations en amont afin de produire des informations crédibles, vérifiées et vérifiables.
Avoir la crédibilité des informations c’est de s’en donner les moyens, matériels, financiers et humains.
Mais le plus souvent, ces moyens font défaut à la carrure du journaliste africain.
Avec une telle situation et les entorses à la presse, le journaliste dans de nombreux pays se retrouve en conflits avec la justice ce qui du coup donne l’image du musèlement de la presse ou de prétendues contraintes à la liberté de la presse.
Pour RSF, la presse indépendante au Maroc exerce difficilement son travail obligeant les journalistes à se rabattre sur les réseaux sociaux et internet.
Contrairement aux allégations de RSF, les journalistes de la presse au Maroc sont entièrement libre si liberté de presse il y a.
D’ailleurs les journalistes du pays se sont rabattus beaucoup plus aujourd’hui sur les réseaux sociaux et internet comme le stipule également RSF.
L’unique raison n’est pas une supposé manque de liberté de la presse marocaine mais plutôt un essor technologique avec ses plateformes de communication qui développent de nouvelles passions pour le journalisme chez les jeunes, entrainant du coup un foisonnement de cyber journalistes au Maroc.
Le guide africain, Sa Majesté Mohamed VI a fait du Maroc le royaume le plus libéral en Afrique dans le domaine de la presse, offrant un univers médiatique de grande ouverture au sein du Royaume.
Eric
