Burkina Faso : L’enseignement supérieur, une priorité stratégique du Président Ibrahim Traoré pour le développement

Sous la houlette du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso poursuit résolument sa marche vers un développement durable, en plaçant l’éducation au cœur de ses priorités. Depuis son arrivée à la tête du Faso, le Chef de l’État n’a cessé de poser des actes concrets en faveur de l’enseignement, convaincu que le savoir et la formation sont les leviers les plus puissants pour bâtir un pays résilient, prospère et souverain.
Cette volonté politique s’est une fois de plus illustrée à l’occasion du Conseil des ministres tenu le mercredi 16 avril 2025. En effet, sous l’impulsion du Président Ibrahim Traoré, le gouvernement a adopté un décret portant déclaration d’utilité publique urgente pour la construction d’une Unité de Formation et de Recherche en Sciences et Techniques (UFR/ST) ainsi que d’une cité universitaire au profit du Centre universitaire de Dori, dans la région du Sahel.
Selon les précisions du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le Professeur Adjima Thiombiano, ce projet structurant bénéficie d’un financement obtenu grâce à une synergie entre l’État burkinabè et ses partenaires techniques et financiers. Il vise à renforcer l’offre de formation supérieure dans une région stratégique du pays, longtemps confrontée à des défis sécuritaires et économiques.
La construction de cette UFR/ST à Dori répond à une double ambition : désenclaver intellectuellement la région du Sahel en rapprochant l’enseignement supérieur des populations locales, et former une nouvelle génération de cadres et de techniciens qualifiés pour répondre aux besoins spécifiques de développement de cette zone.
Cet engagement pour l’éducation ne date pas d’hier. Depuis le début de son pouvoir, le Président Ibrahim Traoré a initié plusieurs réformes et actions manifestes dans le secteur de l’enseignement, notamment : l’augmentation des budgets alloués à l’éducation et à la recherche, le soutien accru aux établissements publics d’enseignement supérieur, l’ouverture de nouveaux centres universitaires dans des localités jusque-là dépourvues, l’amélioration des conditions de vie et d’étude des étudiants à travers la construction de cités universitaires et de restaurants.
Le projet du Centre universitaire de Dori s’inscrit donc dans cette dynamique globale portée par une gouvernance axée sur les résultats. Il illustre parfaitement la volonté du Chef de l’État de mettre le capital humain au centre des politiques publiques, condition sine qua non d’un développement véritablement durable.
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Abdoul Karim