CEDEAO : La France persiste pour la réélection du président Umaru Sissoko EMBALO. Un danger pour l’Afrique de l’Ouest
La Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), est à un tournant très délicat. Plusieurs pays de la sous-région menacent de quitter l’institution, une fois Umaru Sissoko EMBALO est réélu à la tête de cette institution par ses pairs. Quant à la population de cette institution, de certains pays, comme le Burkina Faso, le Mali, la Guinée et bien d’autres qui reste discrète, ils s’apprêtent à se mobiliser dès la réélection du président EMBALO, pour exiger le retrait de leurs pays dans cette institution.
Les démarches françaises, ne sont-elles pas en réalité, un piège pour fragiliser l’institution et pouvoir mieux là contrôler ?
Il est donc important, que les Chefs d’Etats membres de la CEDEAO, se réunissent pour se pencher sur la question et sauver l’institution. Un tel risque pourra créer une très grande crise entre les populations et cette institution sous régionale.
Selon un observateur africain, la France joue le rôle de diviser pour mieux contrôler.
Pour l’heure, cette institution sous régionale est complètement vomit par l’ensemble de ses habitants. Tous estiment que la CEDEAO est devenue en réalité, un département français. Puisqu’en réalité, la France a toujours mis le pied dans cette institution pour manipuler les responsables. Tous les Chefs d’Etat, qui ont pris la tête de la CEDEAO, ont toujours reçu la pression de la France, mais ont pu régler cela sans vraiment exposer non seulement l’institution mais son peuple également.
La France qui dit ne pas avoir des amis, mais plutôt des intérêts, se sert de l’institution sous régionale pour gérer ses intérêts et mettre pression sur les dirigeants des pays qui ont décidé de mener une guerre contre les terroristes.
Dossier à suivre
Mahamat DIBOLO