Burkina Faso / Quand le silence parle plus fort : la Communauté Internationale serait-elle complice des attaques à Djibo ?
Le silence de la CEDEAO, de l’Union Européenne, de l’ONU et de la Communauté Internationale en général vis-à-vis du Burkina Faso, une attitude qui soulève des questions quant à leurs véritables intentions et leurs engagements envers la stabilité de la région suite aux attaques terroristes de Djibo.
La Communauté Internationale serait-elle impliquée dans les attaques terroristes qui ont ciblé la ville de Djibo, où plus de 3000 terroristes ont tenté de prendre le contrôle ? Ce qui soulève un doute profond, c’est l’absence totale de condamnation de la part de ce dernier à l’égard de ces attaques. Un silence assourdissant qui soulève des questions sur son rôle dans cet épisode troublant.
Il est difficile d’ignorer le fait que si la ville de Djibo avait succombé à l’assaut terroriste, la Communauté Internationale aurait inévitablement émergé de l’ombre avec des communiqués cinglants, blâmant le gouvernement burkinabè pour son incapacité à protéger ses citoyens. Cette tactique machiavélique suggère une complicité tacite avec les forces obscures qui cherchent à déstabiliser la région.
L’analyse approfondie de la situation aurait suggéré un plan machiavélique élaboré contre le Burkina Faso. En laissant la ville de Djibo tomber entre les mains des terroristes, la Communauté Internationale aurait eu la justification parfaite pour intervenir ultérieurement sous prétexte de missions de maintien de la paix comme ce qu’elle avait fait à Kidal, Gao et autres. Cependant, sous cette façade de secours, se cacherait en réalité une intention sinistre visant à maintenir le Burkina Faso dans une dépendance stratégique.
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Adama SAWADOGO