Centrafrique: Une machination bien huilée par l’occident pour faire échec au projet Sango du Président Touadéra

Depuis quelques jours, une publication occidentale fanfaronne que le projet de cryptomonnaie a subi un « sévère revers » après la décision de la Cour constitutionnelle après avoir véhiculé par la même occasion que le projet est définitivement enterré par la Cour Constitutionnelle. Les décisions de la plus Haute Juridiction de l’Etat n’ont pas pour but de « sanctionner le Sango Coin » mais plutôt d’améliorer le projet.

La campagne de désinformation bat son plein depuis que la Cour Constitutionnelle du pays a décidé d’invalider certaines dispositions qui régissent depuis avril dernier la loi sur le projet de cryptomonnaie.

Mais par la suite les centrafricains comprennent qu’il ne s’agit pas d’une abrogation, de la mort du projet Sango sinon un appel de la Cour Constitutionnelle à un changement des dispositions incriminées.

Le projet Sango est donc bel et bien en place n’en déplaise à ceux qui veulent le voir sombrer pour de bon.

Dans une note officielle, le ministre d’Etat Obed Namsio a d’ailleurs estimé que la décision de la Cour Constitutionnelle n’a pas vidé de sa substance la loi sur la cryptomonnaie locale.

Le Président Faustin Archange Touadéra auteur de ce brillant projet que les détracteurs ont cherché à tout prix à avilir, est aujourd’hui acclamé par son peuple.

Autour du texte qui stipule que le Sango coin permettrait de monnayer l’acquisition d’un passeport centrafricain ou d’un titre de résidence, la publication étrangère écrit que « des juges ont déclaré ces points non conformes à la Constitution et c’est tout l’édifice conçu par le Président Faustin Archange Touadéra qui risque de s’effondrer ».

Aucun édifice du Président Touadéra qui jouit déjà d’un soutien populaire ne pourra s’écrouler à l’instar du projet Sango qui malgré les élucubrations et les dénigrements du G16, demeure en place.

Cette publication soutient d’ailleurs que « le G16 a saisit la Cour Constitutionnelle qui lui a donné raison » sur l’inconstitutionnalité que revêt la vente de la nationalité ou de droit de résidence.

Sur une cryptomonnaie très critiquée par les détracteurs de la république, il n’est pas étonnant que le G16 qui devrait s’inscrire dans la dynamique de la conciliation, se gave de discrédits et de désinformation sur les réalisations de notre Président bien aimé Faustin Archange Touadéra.

Un tel projet devrait recevoir le soutien de tous les citoyens au sein de la République pour polir ensemble cette initiative, noyau de la croissance économique du pays.

L’occident n’ayant aucun projet de développement pour la Centrafrique afin de le punir pour son penchant pour la Russie, ne pourra qu’alimenter un « échec » du projet Sango coin.

En tout cas, il est tout à fait clair que le gouvernement centrafricain ne renoncera pas au projet Sango initié par le Chef de l’Etat.

Faustin Archange Touadéra va-t-il chercher à contourner la décision de la Cour Constitutionnelle ou voudra-t-il la respecter ?

De cette question relevée dans la publication européenne, se dégage le mépris des occidentaux à l’égard du projet Sango.

Après décision de la Cour Constitutionnelle, la présidence de la république dans un communiqué avait pris acte de la décision de la Cour à propos de la mise en vente de la nationalité centrafricaine, la création et la mise en vente d’une e-résidence, la mise en vente de terrains et de ressources naturelles, annoncée dans le projet Sango et de son caractère jugé inconstitutionnel parce que ne figurant pas dans l’ordonnancement juridique national du fait que les textes législatifs et réglementaires n’ont pas encore consacré ces dispositions.

Le même communiqué de la Présidence salue toutefois le « leadership éclairé » de Son Excellence le Professeur Faustin Archange Touadéra, Président de la République et précise que « le Chef de l’Etat, prendra toutes les dispositions idoines pour éviter les potentielles violations de la Constitution relevée par la plus Haute Juridiction de l’Etat en matière constitutionnelle dans le cadre de l’implémentation du projet Sango ».

Ceux qui, piloté par l’occident, font croire aux centrafricains que «…la loi sur la cryptomonnaie représente un réel danger pour la survie de notre nation » relayé dans cette publication européenne, ne pourront s’en prendre qu’à eux-mêmes.

Eric

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