Centrafrique: Quand la question de Révision de la Constitution dérange l’opposition
Avec toutes les actions positives en vue de doter le pays du président Faustin Archange TOUADERA d’une constitution qui cadre bien avec les réalités républicaines, les opposants au Réforme à l’instar du Bloc Républicain pour la Défense de la Constitution, semblent nourrir un esprit de déstabilisation du pays à travers des violences armées. Mais les centrafricains favorables à une révision de la Constitution et encore majoritaire, ne tarissent pas d’éloge pour venir à bout des actions des membres du G16, les 12 apôtres destinée à nourrir des intérêts « égoïste et personnel au détriment de la souffrance du peuple centrafricain ».
Depuis quelques temps, les aspirations profondes du peuple centrafricain manifestées à travers de nombreuses pétitions et marches de soutien à la réforme constitutionnelle, deviennent de plus en plus retentissantes.
Des agitations que manifeste le camp adverse sur le retrait du verrou de la limitation du mandat présidentiel, témoignent du regain de popularité sur la question de Réforme Constitutionnelle.
Le peuple centrafricain veut un pouvoir qui l’emmènera sur la voie du développement et de l’indépendance économique et non dans les arène de la guerre.
Sur cette question de développement, seul le président Faustin Archange TOUADERA est l’homme de la situation.
Il est encore ce fabuleux dirigent qui quatre mois après l’adoption de la crypto-monnaie en Centrafrique, a ouvert, le mercredi 24 août 2022 à Bangui, des réflexions de trois jours sur l’économie numérique.
Cela témoigne de sa préoccupation quotidienne à doter le pays d’une économie, forte, compétitive et modèle.
Les nouvelles technologies de l’information et de la communication, faisant partie des Objectifs du développement durable, le gouvernement entend faire du projet fibre optique, un instrument de la transformation digitale des secteurs public et privé en République centrafricaine.
Des secteurs dont le mode de fonctionnement est resté archaïque jusque-là. Dans son discours à l’occasion de cette rencontre, le président de la République a parlé de la marche vers le développement.
Mais avec une Constitution de 2016 aussi caduque, aucune marche vers le développement ne pourra être menée à son terme car l’alternance politique au regard des pays qui l’ont adopté, n’a encouragé qu’une déconfiture des systèmes de l’Etat.
Si aujourd’hui de plus en plus, de voix s’élèvent pour exiger la révision de la constitution du 30 mars 2016 à travers des pétitions et marches de soutien à la réforme constitutionnelle sur toute l’étendue du territoire, c’est que le peuple est certain que le président Faustin Archange Touadéra est capable de donner l’indépendance politique, diplomatique, sécuritaire et économique à son peuple vue sa politique de rassemblement.
Cependant, certains ennemis de la nation pensent qu’en modifiant la constitution, on fait ainsi appel à l’insécurité quitte à entrainer le pays tout entier dans le chao.
Le peuple centrafricain est souverain et ne saurait être manipulé à nouveau comme par le passé.
Pour cela, nous avons tous besoin de toutes les forces vives de la nation à l’instar de Ziguélé, Dologuélé, Mboli-goumba, Tiangaye, Kamoun, Méckassoua et même de Bozizé derrière le président Faustin Archange TOUADERA pour réussir l’édification nationale de notre chère patrie.
Au lieu de s’armes de destruction et de guerre, plutôt contribuer à balayer toute manœuvre ou tentative de déstabilisation de la RCA, la révision de la constitution de 2016 nécessitant qu’on fasse place à une nouvelle Constitution avec comme corollaire un troisième mandat du Président Touadéra.
Eric