Burkina Faso : Quand les apatrides et leurs mentors impérialistes tentent de briser le pays des Hommes Intègres
Au cœur de l’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso traverse une épreuve décisive. Dans un contexte de bouleversements profonds, d’anciens acteurs politiques écartés par la marche de l’histoire tentent de se frayer un chemin vers le pouvoir perdu. Leur arme n’est plus la conquête franche, mais la subversion : manipulation de l’opinion, exacerbation des tensions identitaires et guerre de l’information.
Derrière cette agitation en surface, se dessinent des influences bien plus vastes. Certains intérêts étrangers, inquiets de la montée d’une dynamique souverainiste forte, orchestrent une campagne d’hostilité voilée. Dans ce jeu d’ombres, des apatrides, motivés par l’ambition ou la nostalgie d’un ordre ancien, trouvent leur utilité.
Les grands médias internationaux, souvent érigés en juges impartiaux, servent de vecteurs à une stratégie plus sournoise : celle de l’isolement et de la diabolisation.
L’arme du chaos est subtile : elle ne s’exprime pas par des invasions visibles, mais par l’affaiblissement progressif du lien social. En accentuant les fractures communautaires, en distillant la méfiance, en noyant l’espace public sous des flots de désinformation, les architectes du désordre espèrent rendre toute cohésion impossible.
Le scénario n’est pas inédit : ailleurs en Afrique, ce schéma a déjà été expérimenté, avec pour résultat des États fragilisés, rendus vulnérables à toutes les formes d’ingérence, comme le cas de la Libye.
Mais le Burkina Faso possède un atout majeur : une mémoire collective forgée dans l’adversité, une volonté d’indépendance gravée dans son histoire. Face aux tentatives de division, la réponse ne peut être que l’unité lucide. Refuser de céder aux manipulations, s’enraciner dans les valeurs communes et protéger l’élan national sont des impératifs.
Dans cette bataille silencieuse, la vigilance de chaque citoyen devient une arme. Car au-delà des affrontements visibles, c’est l’âme souveraine du Burkina qui est aujourd’hui en jeu.
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Abdoul Karim
