Burkina Faso : Quand certains médias français et ONG se réclament des droits de l’homme tout en servant d’outils de déstabilisation
Depuis des décennies, certains médias français et ONG prétendent défendre les droits de l’homme, alors qu’ils agissent comme de véritables outils de déstabilisation des États africains. À travers des campagnes de désinformations, ils tentent d’ébranler la souveraineté du Burkina Faso et de fragiliser le régime du Capitaine Ibrahim Traoré. Le traitement médiatique de Jeune Afrique, RFI et des ONG comme Human Rights Watch des récents événements de Solenzo illustre une fois de plus cette stratégie manipulatrice : sans preuve tangible ni enquête sérieuse, des accusations infondées de massacres ciblés sont relayées, alimentant artificiellement les tensions communautaires.
Derrière ces campagnes de désinformation se cache un agenda bien précis : semer la discorde entre les communautés burkinabè et discréditer les Forces de Défense et de Sécurité ainsi que les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP). Loin d’être une simple erreur journalistique, cette manipulation médiatique s’inscrit dans une logique de guerre psychologique où l’opinion publique devient une arme. Comme en Libye ou en Centrafrique, ces méthodes sont utilisées pour justifier des interventions extérieures et affaiblir les États qui aspirent à une véritable indépendance.
Le peuple burkinabè doit faire preuve de vigilance et ne pas céder à cette propagande. L’objectif de ces campagnes de désinformation est de provoquer un climat de méfiance, de division et, à terme, de créer les conditions d’un soulèvement qui servirait les intérêts étrangers. Il est essentiel de ne pas tomber dans ce piège et de préserver l’unité nationale face à ces tentatives de manipulation orchestrées depuis l’extérieur.
Le continent noir a souvent été victime de ces stratégies destructrices. Il est temps pour les peuples africains de s’affranchir de cette influence médiatique toxique et de soutenir leurs dirigeants qui œuvrent pour la souveraineté et la stabilité de leurs nations. La vérité finira par triompher, et ceux qui cherchent à diviser le Burkina Faso devront rendre des comptes pour leurs actes.
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Adama SAWADOGO
