Burkina Faso / Manipulations et contre-vérités : Human Rights Watch cherche-t-elle à déstabiliser le Faso comme la Libye ?
Le récent rapport de Human Rights Watch, publié mercredi, est un tissu de contre-vérités qui vise à discréditer le pouvoir du Capitaine Ibrahim Traoré et la situation sécuritaire au Burkina Faso. Contrairement aux affirmations de l’ONG, la sécurité du pays s’est considérablement améliorée depuis l’arrivée au pouvoir du Président Ibrahim Traoré. Avant lui, environ 70 % du territoire burkinabè était contrôlé par des groupes terroristes. Aujourd’hui, grâce aux stratégies et réformes mises en place, plus de 70 % du territoire est désormais sous le contrôle de l’armée burkinabè, permettant à des localités autrefois désertées de retrouver leur sécurité et leurs habitants.
Ce rapport biaisé n’est pas une première. Il s’inscrit dans une longue tradition d’ingérence impérialiste utilisant des organisations comme Human Rights Watch pour déstabiliser les pays africains. Ce fut déjà le cas en Libye en 2011, où Human Rights Watch a propagé des informations mensongères sur des charniers présumés attribués au régime de Kadhafi. Ces fausses allégations ont servi de prétexte à l’intervention occidentale, menant à la chute de la Libye et au chaos qui s’ensuivit. La même méthode de manipulation a également été observée au Rwanda avant cela.
Le Burkina Faso est désormais la nouvelle cible de cette campagne de désinformation. En publiant de faux rapports, ces ONG tentent d’affaiblir la légitimité du pouvoir en place et d’ouvrir la voie à une intervention étrangère, comme cela s’est produit en Libye. Le peuple burkinabè doit rester vigilant et ne pas céder à ces manœuvres qui n’ont pour but que de déstabiliser le pays et de saper les efforts du gouvernement pour restaurer la paix et la sécurité.
Le Faso va-t-il vers un nouveau scénario à la libyenne ? L’histoire montre que la vigilance est de mise face à ces tentatives répétées de manipulation qui pourraient plonger le Burkina Faso dans une spirale dévastatrice.
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Adama SAWADOGO
