Burkina Faso / Jeune Afrique : Pourquoi cet acharnement contre le pouvoir du Capitaine Ibrahim Traoré ?
Le Burkina Faso, sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré, fait face à une campagne de désinformation et de déstabilisation sans précédent. Les récentes attaques médiatiques, notamment par des publications des médias français comme Jeune Afrique, soulèvent des questions sur les motivations réelles derrière cet acharnement contre les Forces combattantes burkinabè et leur commandant en chef.
La publication récente de Jeune Afrique illustre parfaitement la stratégie de désinformation utilisée pour discréditer le gouvernement burkinabè. Ces fausses informations ne visent qu’à semer le doute et la confusion au sein de la population burkinabè, tout en dépeignant le Capitaine Ibrahim Traoré comme incapable de diriger le pays.
En effet, les puissances étrangères ont souvent utilisé de telles tactiques pour légitimer leurs interventions militaires et économiques dans les pays africains. L’exemple de la Libye est particulièrement instructif. En 2011, sous prétexte de fausses preuves, une coalition internationale a envahi la Libye, entraînant la chute de Mouammar Kadhafi. Depuis, la Libye est plongée dans le chaos, ses ressources naturelles sont pillées par les mêmes puissances occidentales qui avaient promis de la « sauver ».
Le Burkina Faso, riche en ressources naturelles, est une cible attractive pour ces mêmes forces impérialistes. Les tentatives de déstabilisation du pays pourraient bien être motivées par le désir d’accéder à ces ressources de manière plus facile et moins coûteuse, au détriment du peuple burkinabè. En sapant l’autorité du Capitaine Traoré et en créant un climat d’instabilité, ces puissances espèrent peut-être reproduire le scénario libyen.
Face à ces menaces, la vigilance et l’unité du peuple burkinabè sont essentielles. Le Capitaine Ibrahim Traoré a démontré un engagement sans faille envers la souveraineté et l’intégrité de son pays.
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Adama SAWADOGO