Guinée-Bissau : La colère du peuple face à la trahison de son président Umaro Sissoco Embaló et son alignement sur les intérêts français
La colère du peuple bissau-guinéen face à la trahison de son président Umaro Sissoco Embaló et son alignement sur les intérêts français
Le peuple bissau-guinéen a clairement exprimé son désaccord face à la trahison de son Président Umaro Sissoco Embaló en le sanctionnant dans les urnes, d’où il n’a récolté que 29 sièges sur 102 au Parlement lors des élections législatives passé. Cependant, malgré ces protestations, Umaro Sissoco Embaló ne change pas de botte et continue de défendre les intérêts impérialistes, en prenant des décisions qui suscitent la colère de la population. Les Bissau-Guinéens reprochent notamment à leur président de favoriser les intérêts de la France au détriment de ceux de leur propre pays.
La France exerce une influence démesurée sur les pays africains, en particulier sur ceux qui sont ses anciennes colonies. Certains pays sont dociles à l’égard de la France, comme le cas de Umaro Sissoco Embaló qui promeut des sanctions contre des pays souverains à l’instar du Mali, de la Guinée et du Burkina-Faso, sur la base d’intérêts qui ne sont pas ceux de leurs populations respectives. Umaro Sissoco Embaló est l’un de ces dirigeants, qui privilégie les intérêts français au détriment de ceux de son propre pays et la CEDEAO dont il est le président en exercice.
Le peuple de la CEDEAO exprime également son mécontentement face à la présidence d’Umaro Sissoco Embaló, qui a pris position pour la France au détriment des intérêts de la région. Comment est-ce que cet homme qui a échoué de manière successive et retentissante à gérer les différentes crises de la sous-région peut-il être le favori pour sa réélection ? C’est la question que se posent de nombreux observateurs, qui s’inquiètent pour l’avenir de la CEDEAO pour un deuxième mandat de Umaro Sissoco Embaló. La CEDEAO est censée jouer un rôle de médiateur dans les conflits politiques et sociaux qui éclatent dans les pays membres, mais sous Umaro Sissoco Embaló l’organisation n’a pas été à la hauteur de sa mission dans les différentes crises.
Le peuple bissau-guinéen exprime son mécontentement face à la gestion du président Umaro Sissoco Embaló, qui favorise les intérêts de la France au détriment de ceux de son propre pays et également de la CEDEAO.
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Luc DEMBE
