L’ex régime de Damiba entre l’étau et l’enclume d’une probable comparution
Il n’y a pas de secret sous le soleil dit un adage. Tout finit donc par se savoir un jour ou l’autre qu’on le veuille ou non. Ainsi au Burkina, les réseaux sociaux continuent de jouer le rôle de jurisprudence dénonçant les dérives de pouvoirs véreux et corrompus, ayant conduit le plus souvent à déchoir ces vautours affamés à l’instar de Damiba. Parfois aussi, même avec le développement des TIC, ces sangsues peinent à se défaire de leurs mauvaises habitudes se croyant à l’abri à l’étranger et faudra-t-il, alors par le coup du sort, qu’un web-activiste « repenti » ayant fait les beaux temps de ces ex-dirigeants, s’illustre en vedette pour étaler l’inconcevable au grand jour.
Le peuple a de quoi analyser, jauger et disséquer la gouvernance au pouvoir grâce au réseaux sociaux qui sonnent désormais le glas d’une épopée lointaine où le peuple paraissait inculte vis à vis des secrets d’Etat.
Mais encore faut-il que le peuple sache utiliser ces réseaux sociaux pour dénoncer les écarts du pouvoir. Cette spécialité revient alors au web-activistes qui ont cette compétence d’impacter l’opinion soit négativement soit positivement.
La cerise sur le gâteau sera l’avènement de Facebook, whatsapp, télégram, Twitter qui ont abouti le plus souvent à nourrir les basses besognes des hommes d’Etat.
On aura même affirmé que les occidentaux ont finit par regretter la création de l’internet tellement les africains l’utilisent si bien pour se sortir de l’impérialisme qu’on leur servait depuis des décennies. Malheureusement certains web-activistes ont choisi de soutenir les actes de corruptions de certaines politiques au pouvoir sur le dos du peuple.
Cela implique que ces web-activistes travaillent non plus en toute objectivité sans contrepartie mais moyennant de fortes sommes d’argent. Alors naquis de pseudo web-activistes nourris et blanchis par des pseudo dirigeants à l’instar de kaboré dont les recours à l’activisme des jeunes voraces, sans scrupules et sans valeur, était légion.
Ces « brouteurs » opportunistes, Naïm Touré, Aminata Rachow, Ibrahima Maïga, dans la répercussion d’opinion, encouragés également par des éléments de l’armée burkinabè moyennant quelques avantages, ont dénoncé les insuffisances du pouvoir avec l’appui de certains cadres de l’administration publique et des militaires qui fuitaient des informations.
Damiba et son régime de pilleurs fortuits a été l’incarnation même de la bêtise au plus haut sommet de l’Etat. A travers les confessions du sieur Maïga, activiste en chef dudit régime, il s’est avéré qu’en huit ( 8 mois ), Damiba est plus apte au pillage qu’à gouverner le pays. Son clan a fait pire dans la dilapidation et le pillage des fonds publics.
Ce putschiste opportuniste est resté tout ce temps dans les bonnes grâces des activistes qui faisait l’éloge de son régime à coup de millions de F CFA, dans l’ordre de 83 millions, 50 millions, au mépris de pauvres soldats et VDP qui tombaient sur le champ de bataille contre les terroristes.
Le comble est que même chassé du pouvoir, le désormais hors-la-loi au regard du Burkina poursuit dans ses actions où des activistes continuent de faire la queue à Lomé pour toucher leurs pactoles ensanglantés.
Le peuple burkinabè est horrifié d’apprendre de telles dires qui doivent désormais motiver un mandat d’arrêt international contre X et Y en vue de répondre devant le peuple qui a été floué pendant tout ce temps au nom de supposées tentatives de retour à l’ordre publique.
John